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Test de Spec Ops : The Line

2 Août

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Il y a les blockbusters du jeu vidéo dont tout le monde parle et auxquels tous les joueurs ont déjà joué au moins une fois et il y a d’autres titres qui passent sous les radars malgré leurs qualités. Spec Ops : The Line fait partie de ces jeux dont on parle peu (malheureusement). Pour résumer Spec Ops, prenez Battlefield ou Call of Duty et inversez leurs qualités et défauts. Le titre de 2K est donc un shooter à la troisième personne techniquement perfectible mais à l’ambiance immersive et au scénario intelligent.

Dans le jeu vous incarnez le leader d’une petite escouade de la Delta Force. Vous et vos deux coéquipiers êtes envoyés à Dubai chercher des survivants. En effet, le ville a été victime de tempêtes de sables violentes qui l’ont coupé du monde. A votre arrivée, vous découvrez que la ville a été le lieu de massacres, il semblerait que le colonel de la 33e division d’infanterie soit devenu fou en s’auto-proclamant dictateur de Dubai.

A première vue le scénario n’est pas innovant cependant au fil du jeu la trame se complexifie pour aboutir à une fin digne d’un bon film. Spec Ops the Line s’apparente souvent à un Full Metal Jacket ou un Apocalypse Now  en soulignant le traumatisme guerrier. Le titre montre la transmission d’un membre de la Delta Force lambda en un soldat poussé à commettre des actes immoraux pour se venger. L’aspect psychologique de la guerre est le véritable point fort de l’histoire. Le conflit intérieur du personnage principal est mis en avant par les fréquentes engueulades de l’équipe.

Spec-Ops-The-Line-Splash-ImageLa technique n’est pas le point fort du jeu. Graphiquement, il est loin d’un Uncharted ou du dernier Tomb Raider. L’aliasing est présent, les textures bavent un peu et apparaissent tardivement. Néanmoins, le jeu se déroulant à Dubai après des tempêtes de sables, la visibilité est rarement bonne ce qui masque les défauts techniques. L’intelligence artificielle n’est pas parfaite non plus. Celle de vos alliés sont correctes, ils obéissent correctement aux quelques ordres que vous pouvez leurs donner (attaquer un soldat précis, lancer une grenade, soigner un blessé). En revanche, les ennemis ne disposent pas de capacité intellectuelle importante. Certains se mettent à couvert lors d’un lancé de grenade mais dans l’ensemble c’est davantage par leur nombre qu’ils ralentissent la progression du joueur. La bande-son est excellente, les bruitages sont très bons et la musique est utilisée aux moments opportuns pour contribuer à l’immersion.

10Parlons désormais du gameplay et de l’ambiance qui sont les grandes réussites de Spec Ops : The Line. Ce dernier dispose d’un gameplay archi-classique mais qui a le mérite de fonctionner. Le système de couverture est critique dans l’aventure car vous ne survivrez pas longtemps aux vagues d’ennemis. Heureusement, votre personnage se met à couvert derrière n’importe quoi. Les bugs de couverture sont rares et les commandes tombent bien en mains. L’arsenal mis à disposition est lui aussi classique et répond à l’impératif de réalisme du jeu (M4,AK47,SCAR,…). La gestion des munitions est importante car elles sont souvent en nombre limité. Il faut économiser les balles sous peine de se retrouver dans une situation relativement inconfortable. Le corps à corps est possible mais contre plusieurs ennemis il vaut mieux trouver une arme à feu. Cette gestion des munitions oblige le joueur à se servir de l’ensemble des armes qui ont chacune des caractéristiques propres. Contrairement aux autres jeux de tirs, toutes les armes ont une physique différente et aucune n’est réellement pénalisante. La gestion des tirs est, je trouve, exceptionnelle. C’est le seul jeu dans lequel on peut réellement nettoyer une zone avec un unique chargeur. Le tir automatique est très contrôlable et réaliste, il sera plus facile de mitrailler précisément avec un M4 qu’avec un AK47. Le nombre de balles nécessaires à tuer un ennemi est assez faible (deux ou trois) ce qui est assez jouissif. En cas de manque de munitions, on sait qu’avec une vingtaine de balles un peut s’en sortir si l’on vise correctement.

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Le contexte dans lequel se déroule l’histoire est tout bonnement génial.  Placer le jeu dans une ville comme Dubai permet d’offrir de la diversité et des environnements originaux. L’aventure se passe entre le désert jonché de Bentley et autres Lamborghini aux palaces improbables avec des aquariums géants. Malgré l’ancienne richesse de la ville, les survivants des tempêtes de sable vivent dans des conditions difficiles et sont les victimes de massacres. Vous parcourez l’aventure dans une ville pleine de charniers et où l’utilisation de phosphore blanc était fréquente. Vous serez amener à vous en servir au cours de l’histoire plus ou moins contre votre gré. Le jeu met en avant les dégâts causés par l’utilisation des armes chimiques par des séquences plus lentes et très gores. L’autre thématique abordée est l’impact psychologique de la guerre sur les soldats. Votre personnage ne sera pas le même entre le début et la fin du jeu. En parlant de la fin du jeu, elle est simplement géniale et mérite d’être vue.

En conclusion, Spec Ops : The Line est un excellent TPS (Third Person Shooter). Son seul défaut est de ne pas avoir rencontrer le succès qu’il mérite. Il s’agit d’un titre intelligent qui immerge le joueur dans l’enfer de la guerre et qui l’amène à se poser des questions sur les conflits actuels. On quitte le jeu de tir pro-américain dont le scénario tient sur un timbre post et ça fait du bien. Les films de guerre ont leurs navets et leurs chefs-d’œuvre (Full Metal Jacket, Platoon,…), Le jeu vidéo aussi. Le titre est disponible sur PC, PS3 et Xbox 360 à petit prix, profitez-en.

A l’heure où j’écris ces lignes, il est gratuit pour les membres du PlayStation Plus.

Battlefield 3, le solo de la honte

8 Juil

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Amateur de FPS, ce n’est que très logiquement que je me suis penché sur Battlefiled 3 à sa sortie. J’ai beaucoup apprécié les deux épisodes de Bad Company et je me suis dit que je devais peut-être acquérir le troisième épisode. En dehors du multi, Battelfield 3 ne m’a pas assez tapé dans l’oeil pour que je l’achète. Sa gratuité sur le PSN+ a donc été l’occasion pour l’essayer.

Avant d’entrer dans le vif du sujet, je tiens à préciser que le jeu tourne sur PS3 donc les problèmes techniques mentionnés sont peut-être uniquement dus à ce support. N’étant plus vraiment un amateur de mode multi en ligne, je ne parlerai que de la campagne solo.

Parlons peu, parlons bien, la campagne solo est exécrable. Pendant les quelques six heures que durent le mode histoire, une question me revenait sans cesse : «Est-ce les développeurs de Bad Company qui ont commis cette campagne ?».

(Presque) rien ne va. Le problème n’est pas le (pauvre) scénario, Battlefield 3 n’a pas la prétention d’être un jeu dont l’histoire est importante. Le réel soucis est la mise en scène. Personnellement, j’ai eu l’impression de jouer à un FPS lambda de la trempe d’un SWAT Global Strike Team (à ne pas confondre avec l’excellente série sur PC) sorti jadis sur PS2. L’immersion est nul et je vais vous expliquer les raisons de ma déception.

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Le jeu a pris partie de ne pas être dans le grand spectacle comme peut l’être Call of Duty. Ce n’est pas un problème en soi mais cette décision n’excuse pas un level design qu’on ne peut qualifier que de vide. Le joueur avance dans des décors sans âme, poursuit son périple dans des couloirs vides en zigouillant des terroristes en attendant le générique de fin. Battlefield 3 a une campagne solo linéaire mais dont les scripts sont mal foutus et où l’initiative du joueur est à bannir.

Si vous voulez au mode histoire, suivez les indications du jeu à la lettre et n’essayer de pas de réfléchir. Par exemple, vous devez nettoyer une zone et une mitrailleuse lourde vous pose problème, pourquoi ne pas sniper le mitrailleur qui vous rend la vie rude ? Vous alignez la tête avec le réticule de votre lunette, vous tirez mais rien ne se passe, vous videz un chargeur entre ses deux yeux mais rien à y faire le bougre à la crâne solide. Le jeu ne vous a pas dit que seul l’IA peut l’abattre après que le joueur ai déclenché en se déplacer à un endroit précis. Ce genre de problème survient dans toutes les missions. Si ce n’est pas des ennemis invincibles, ce sont des terroristes qui réapparaissent indéfiniment tant que le joueur ne déclenchera pas le prochain script.

Autre ombre au tableau, l’IA est déplorable. Vos alliés disposent du quotient intellectuel d’une truite et n’hésitent pas à vous poussez sous le feu ennemi. Dans certains cas, ils ne daignent même pas faire feu sur les terroristes. Ces derniers ne sont pas vraiment mieux lotis intellectuellement, ils campent en sortant la tête de temps en temps ou lorsque le joueur décide de prendre l’initiative par rapport à ce qu’avaient prévu les développeurs, ils vous assènent un headshot à 300 mètres.

Les nombreux bugs viennent plomber ce triste constant. Graphiquement, le jeu est correct sur console, les textures ne sont pas trop mal mais des disparitions de véhicules, d’armes et de cadavres sous les yeux de joueurs viennent gâcher l’immersion. Après un gunfight où vous avez dessoudé moult mécréants, le lieu du combat passe du champ de bataille à un endroit propre sans la moindre trace d’effusion de sang. Je comprends que les limitations techniques des consoles de salon entrainent la disparitions d’objets pour libérer de la mémoire. Cependant, il aurait fallu faire disparaitre les corps et autres objets d’une manière plus discrète.

La bande son est le seul domaine où le jeu s’en sort avec brio. L’ambiance sonore est justement excellente, c’est le seul élément immersif d’ailleurs. Les bruitages des armes sont bons et la spatialisation des bruits est excellente (mention spéciale aux sirènes de la police qui m’ont fait croire que les voitures passaient dans ma rue).

Arrêtons là ce pamphlet contre, je précise, le mode solo de Battlefield 3. Les développeurs ont commis une mauvaise campagne qui n’aurait pas dû exister. C’est donc sans regret que je retourne me refaire le premier épisode de Bad Company qui, au passage, est excellent.

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Test de Far Cry 3 Blood Dragon

8 Mai

Blood dragon logoAmateur de jeu réaliste, de scénario bien ficelé et de contexte historique, passez votre chemin car Far Cry 3 Blood Dragon n’est pas fait pour vous. Les développeurs du jeu se sont donnés à coeur joie pour créer un hommage au kitch et aux années 80.
Le joueur incarne le cyborg Rex Power Colt, rescapé de la seconde guerre du Vietnam et grand patriote américain. Votre but : tuer le méchant et massacrer l’Oméga Force. Vous l’aurez compris le scénario kitchissime n’est qu’un prétexte à un gros jeu de tir. Néanmoins, le maigre scénario est racontée par des vidéos au design 16 bits extrêmement réussies.
Les graphismes sont très 80’s avec des néons sur les armes, les combinaisons des ennemis et un filtre qui donne l’impression de visionner une VHS. La bande son quant à elle est exceptionnelle. Les thèmes sont très rétros avec, évidemment, beaucoup de synthétiseur.
Blood Dragon screen 1On retrouve l’excellent gameplay de Far Cry 3 avec quelques petites changements. La jouabilité a été grandement simplifier, la progression est devenue linéaire, les capacités de saut et de sprint du personnage ont été aussi grandement améliorer. On débloque toujours des accessoires pour les armes en prenant des bastions aux mains de l’Oméga Force et en accomplissant des missions secondaires.
Le bestiaire a été aussi modifié, le plus grand changement est l’apparition des dragons de sang. Ces grosses bêtes sont très puissantes et massacrent toute personne se trouver à leur portée. Vous pouvez vous en servir en les attirer près des ennemies afin que les dragons les trucident. Les autres animaux changent peu, ils ont seulement un look cyborg ou mutant.
L’arsenal mis à disposition du sergent Rex Power Colt est limité. Il se compose essentiellement d’un fusil à pompe, d’une mitrailleuse, d’un sniper, d’une Gatling et d’un arc. Ce dernier est malheureusement un peu cheaté, il rend les phases d’infiltration un peu trop facile. A la fin du jeu, on débloque une arme supplémentaire surpuissance mais je vous laisse la surprise.
Blood Dragon screen 2
Alors Far Cry 3 Blood Dragon, que du bonheur ? Oui……et non. En effet, le jeu souffre de deux problèmes, sa facilité et sa durée de vie. Même en mode de difficulté maximale, le jeu demeure facile et on avance un peu trop facilement dans l’aventure. Cette trop grande facilité raccourcit une durée de vie déjà très courte. Comptez environ quatre heures pour finir le jeu en prenant votre temps et ajoutez deux petites heures pour finir Blood Dragon à 100%.

En conclusion, Far Cry 3 Blood Dragon est un titre que l’on adore ou que l’on déteste à cause de son style 80’s. Personnellement, j’adhère totalement au délire des développeurs et je recommande chaudement de ce stand alone. La seule critique que l’on peut émettre est la durée de vie, il est frustrant de terminer cette ode au kitch en moins de 5 heures d’autant plus qu’on aurait aimé un mode multijoueur. Son petit prix, 15 € (11,99€ sur le PSN+), excuse sa piètre durée de vie.

Hitman Absolution – le trailer pour les VGA

11 Déc

Square Enix et IO Interactive ont montrer un nouveau trailer de Hitman Absolution pour les Video Game Awards (VGA). Dans cette courte vidéo d’un peu moins de deux minutes, on retrouve notre cher agent 47 qui tente de retrouver une jeune femme. Il ne s’agit pas ici d’une face de gameplay mais l’on remarque une ambiance très soignée qui colle parfaitement à l’atmosphère de la série.

Ce nouvel épisode sera disponible dans le courant de l’année 2012 sur PC, Playstation 3 et Xbox 360.

Quelle configuration pour Microsoft Flight ?

18 Nov

Microsoft vient de dévoiler la configuration nécessaire pour faire fonctionner sa prochaine simulation, Microsoft Flight.

La configuration minimale est :

-un Dual Core 2ghz

-une carte graphique de 256mo compatible direct 9,0c

-10go de disque dur

-2go de RAM

-Windows XP SP3

Cette configuration est donc bien modeste pour faire tourner le jeu avec les options au minimum, mais voici la configuration optimale afin de pouvoir profiter de Flight dans les meilleures conditions :

-un Intel Core i7 960 3.20GHz, AMD Phenom™ II X6 1100T 3.3 GHz ou mieux

-une carte graphique ATI Radeon HD 5870, NVIDIA GeForce GTX 560 ou mieux

-10go de disque dur

-6go de RAM

-Windows 7 64 bits

Microsoft a aussi publié de nouveaux screenshots sur son site.

Pourquoi Assassin’s Creed n’est pas un grand jeu

18 Nov

Cassons un peu de sucre sur le dos de la licence d’Ubisoft. Commençons par ce qui est bien avant de passer à la critique négative.

Je suis d’accord pour dire que la série d’Assassin’s Creed est sympathique, les jeux sont bons et le scénario est prenant malgré son caractère abracadabrentesque.
Mais voilà, je ne suis pas d’accord avec l’aura de cette série. Tout d’abord la jouabilité est quasi assistée, je déteste que mon personnage agisse d’une manière totalement scriptée. Quand je demande à Ezio ou Altaïr de faire le saut de la foi, l’automatisme de cette action m’énerve, j’ai envie de pouvoir me planter et me vautrer comme un étron sur le sol ou de pouvoir le faire n’importe où quitte à briser le coup du perso.
On a souvent présenté le jeu comme un jeu d’infiltration mais je m’insurge, les scripts sont très nombreux et on peut rarement aborder une situation de plusieurs manières différentes. En tant qu’assassin, je pensais qu’il fallait fuir le combat contre plusieurs ennemis et frapper rapidement. Que nenni, avec le système de combat ultra simplifié avec les contres, il est plus que facile de se défaire d’une pléthore d’ennemis lors d’un même combat. C’est réellement dommage, je trouve que cela gâche l’immersion.
Le dernier point qui m’embête est la répétition du jeu. Certes, la durée de vie est longue pour terminer le jeu à 100% (c’est rare de nos jours), cependant les activités tierces sont ennuyantes. Contrairement à un Grand Theft Auto, les missions secondaires, comme les tours de Borgias ou les tombeaux des adorateurs de Romulus, sont ultra répétitives et ne donnent pas envie d’être effectuées.
Voilà, mon pamphlet est terminé.
En conclusion, j’aimerai qu’Ubisoft transforme sa bonne série en une excellente car elle ne me donne pas envie de me délaisser d’une soixantaine d’euros pour acquérir le dernier épisode.

Les cinq jeux qui m’ont le plus marqué [3/5]

1 Nov

Chose promise chose due, voici le troisième jeu qui m’a le plus marqué. Il s’agit de l’excellent Mafia. Ce jeu encensé par la critique est sorti en 2002 et a été développé par Illusion Softworks. Disponible sur PC, il a connu cependant un portage console (xbox et PS2) de piètre qualité mais je n’en parlerai pas ici.

Il est très difficile de trouver de réels défauts à Mafia.

Dans la peau de Thomas Angelo, un taxi devenu gangster malgré lui, vous effectuerez divers contrats pour votre Don. Les personnages que Tom rencontre sont tous plus charismatique les uns que les autres et pour une fois, on s’attache vraiment au protagoniste d’un jeu qui est humain car perfectible. Le scénario est excellent, l’un des meilleurs du monde du jeuxvidéo, d’ailleurs, la fin du jeu a marqué plus d’un jour.

Techniquement le jeu était splendide et aujourd’hui encore on peut le réinstaller sans s’arracher les yeux pour y jouer avec (quasiment) le même plaisir qu’autrefois. La ville de Lost Heaven est très bien modélisée ainsi que les véhicules. D’ailleurs en parlant des automobiles, j’ai un reproche à leurs faire : ce ne sont pas des modèles sous licences. Par contre, elles restent très bien faites et variées, on passe du corbillard à la voiture de course en passant par le camion de pompier. La conduite de ces véhicules participent largement à l’immersion du joueur dans les années 30. Il faut respecter le code de la route sous peine de recevoir un PV ou d’être arrêté. De plus, comme dans tout bon jeu de gangster, il y a des courses poursuites mais avec des bagnoles des années 30, passer le cap des 100km/h est difficile.

L’autre point fort du jeu est sa somptueuse bande son. Côté bruitage c’est magnifique, l’ambiance de la ville, des voitures et des armes sont très bien retranscrite. Néanmoins, c’est la musique de Mafia qui rend le jeu inoubliable et qui m’a fait découvrir le jazz. En effet, tous les morceaux correspondent à l’action et à l’ambiance des années trente. C’est un véritable plaisir de conduire une vieille voiture dans le centre de Lost Heaven en écoutant des morceaux de Django Reinhard.

Bref, ce jeu est un indispensable, il est quasiment parfait et c’est pourquoi, à mon avis, Mafia II a été vivement critiqué par la presse vidéoludique. Certes le jeu est en deçà de son sublimissime prédécesseur mais il n’en demeure pas moins excellent. La bande son de Mafia II est aussi très très bonne, l’histoire, malgré sa fin un peu décevante, et les personnages sont intéressants.

Avionic Online – la référence de la simulation

18 Sep

Oyé oyé, je me suis rendu compte que j’avais oublié de parler d’un site que j’apprécie beaucoup, avionic-online. En tant que passionné d’aviation et de simulation sur PC, ce site m’a permis de découvrir de nombreux add-on pour Flight Simulator X ou 2004 et des informations sur la simulation aérienne. En plus, il y a un podcast qui sort tous les deux mois.

Bref, ce site est incontournable et je voudrais remercier les personnes qui le font vivre.